Le salon des Solutions
environnementales du Grand Ouest

Les Actualités

Actualités environnementales Spécial Grand Ouest

23/11/2021

Actualités environnementales Spécial Grand Ouest

Spécial Actus environnementales Grand Ouest...

23 millions d'euros de subventions accordés par l'Etat en Pays de la Loire pour recycler des friches

Lancé en juillet 2021 dans le cadre du dispositif France Relance, le recyclage du foncier a pour objectif de participer à la relance de l’économie tout en contribuant à limiter l’artificialisation des sols en requalifiant des friches d’origine urbaine, industrielle ou commerciale. En Pays de la Loire, une première édition, dotée de 11 millions d’euros, a conduit à retenir 37 projets en mai 2021. Un second appel à projets a été doté de 12 millions d’euros. À l’issue du processus de sélection, 28 sites ont été sélectionnés. Au total, 23 millions d’euros de subventions ont été attribués aux 65 lauréats de ces deux éditions... voir suite

La Flèche. Les dépôts sauvages ont un coût

​Le problème est général. La Flèche n’y échappe pas. Chaque mois, près de trois tonnes de dépôts sauvages sont ramassées par les agents du Pays fléchois. Ce qui représente un coût pour la collectivité : près de 80 000 € par an. La question revient de plus en plus fréquemment sur les réseaux sociaux fléchois. Des internautes se disent choqués par les dépôts sauvages de déchets et encombrants en divers endroits de la ville. On en voit quand on traverse La Flèche​, reconnaît Christophe Libert, vice-président de la communauté de communes, en charge de la commission « déchetteries et ordures ménagères », et maire de La Fontaine-Saint-Martin. Des gens qui ont déposé à côté des containers au lieu d’aller à la déchetterie​. À La Flèche, le poids de ces dépôts sauvages collectés par les agents du service propreté est en moyenne de trois tonnes par mois. On est dans le ratio pour une collectivité de cette taille​, estime Nicolas Jariais, responsable du pôle « environnement » du Pays fléchois. ... voir suite

1,3 million d'euros en faveur d'un projet pour réduire la consommation énergétique des ordinateurs

La consommation énergétique des dispositifs microélectroniques représente aujourd'hui 10 à 15 % de l'électricité mondiale et pourrait atteindre jusqu'à 50% d'ici 2030. Dans le cadre du soutien régional à l'innovation et la recherche, la Commission permanente de la Région Pays de la Loire a voté une enveloppe de 1,3 million d'euros pour financer la première phase du projet de démonstrateur industriel " Mott-IA ". Ce projet prometteur permettra de réaliser des pré-séries, afin de valider l'industrialisation de la solution. Il ambitionne, à terme, de réduire drastiquement la consommation d'énergie des ordinateurs, en modifiant l'architecture de leurs composants. Le projet Mott-IA est le fruit de la recherche de l'IMN (Institut des Matériaux de Nantes) autour de matériaux innovants depuis 2007, afin de réduire la consommation énergétique des composants qui constituent l'architecture des ordinateurs... voir suite

Eolien en mer : le projet est entré dans sa phase active

Le premier parc éolien sort de mer et montre ses premiers éléments visibles au large des côtes. D'ici à fin 2022, 80 éoliennes offshore fourniront 20 % de la consommation électrique de Loire-Atlantique. Les premières fondations de ce parc de 78 kilomètres carrés et la sous-station ont été installées.

Au large de Saint-Nazaire, des dizaines de cylindres émergent de la surface, ce sont les fondations du premier parc éolien offshore des Pays de la Loire. Attribué à EDF Renouvelables et au canadien Enbridge en 2012, le parc offshore est bien entré dans une phase de construction... voir suite

Un club des ETI des Pays de la Loire lancé pour favoriser leur développement

Actual, AMP Visual TV, Armor Group, CGMP, Cougnaud, Fast, IDEA, Lacroix Group, Meubles Gautier et Sodebo sont à l’initiative de la création du club des ETI des Pays de la Loire qui regroupe une quarantaine d’entreprises. Il a pour but de favoriser le développement des ETI du territoire et à œuvrer pour que leur expansion puisse se réaliser dans les meilleures conditions possibles (les rendre plus visibles et développer leur attractivité, s’engager en faveur de la transition écologique et la transformation digitale, etc..). La Région des Pays de la Loire accompagne ce club, sa structuration et son animation, avec une subvention de 45 000 € votée à l’occasion de la commission permanente du 19 novembre... voir suite

Billi London invente des collants biodégradables

Des collants 100 % biodégradables : voici le produit innovant mis au point et commercialisé depuis fin 2020 par la start-up Billi London, dont le siège est à Saint-Malo. Co-fondée par Marie Bouhier (basée à Saint-Malo) et Sophie Billi-Hardwick (installée à Londres), la jeune société a créé un produit qui se biodégrade en 5 ans, au lieu de 40 à 100 ans pour des collants classiques. L’objectif des co-fondatrices est même d’aller plus loin, en faisant des déchets liés aux collants une source d’énergie renouvelable : les fils utilisés se transforment en biomasse et en biogaz. Fabriqués en Italie, les collants Billi London sont vendus dans une boutique en propre à Londres et dans un pop-up store à Paris. Pour se développer, la marque lance aussi des chaussettes et leggings biodégradables, et va recruter au moins quatre collaborateurs (postes dans l’e-commerce, la communication, la logistique et la R & D) pour étoffer son équipe de trois personnes... voir suite

La fondation marseillaise Pure Ocean ouvre un bureau à Lorient

Dans le cadre de son développement, le fonds de dotation Pure Ocean, fondé à Marseille, annonce l’ouverture d’un bureau à Lorient, en Bretagne dans les locaux d'Argisfood. Créé en 2017 par l’entrepreneur marseillais David Sussmann, PDG du groupe Seafoodia dont Argisfood fait partie, Pure Ocean soutient des projets de recherche océanique innovants, dans le monde entier, pour la préservation de la biodiversité et les écosystèmes marins fragiles. Grâce aux dons de ses mécènes, Pure Ocean a déjà soutenu une dizaine de projets... voir suite

L'enseigne La Mie Câline pétrit sa politique RSE

La Mie Câline, qui déploie 242 points de vente de pains, viennoiseries et pâtisseries dans toute la France, met les bouchées doubles sur sa stratégie RSE. Un engagement qui amène l’entreprise familiale vendéenne à revoir aussi bien sa politique auprès de ses fournisseurs que son organisation interne.

David Giraudeau, directeur général de La Mie Câline, en est convaincu : "Les entreprises qui ne sont pas perçues comme durables sont vouées à disparaître." Non seulement parce que les consommateurs se détourneraient de leurs produits. Mais aussi parce que les salariés, en quête de sens et de fierté dans leur travail, iraient voir ailleurs si leur employeur est plus vert... voir suite

Face au réchauffement du climat, l’entreprise Laïta s’engage à réduire ses transports

La grosse coopérative laitière bretonne n’a pas entendu la Cop26 de Glasgow : elle s’est déjà engagée concrètement à réduire ses émissions carbone. Notamment pour les transports, avec Fret21. 

« On n’a pas attendu la Cop26 pour s’engager » , résume Jean-Marie Le Bris, directeur des produits grande consommation de Laïta. La coopérative finistérienne a lancé une large consultation auprès de ses 6 000 adhérents, salariés, clients, grand public, invités à s’exprimer sur leurs attentes pour nos marques, dans le futur » . Résultat sans appel : Notre responsabilité sociale et sociétale, le développement durable, la lucidité face à nos impacts, ont été les priorités partagées par tous... voir suite

Annonce Publicitaire