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Trois pistes pour une mobilité plus durable

01/10/2021

Trois pistes pour une mobilité plus durable

                                                                                                        © Ismael Marder / Pixabay

La mobilité, c’est se déplacer d’un point A à un point B, par différents modes de transport, qu’ils soient collectifs ou individuels. De plus en plus, cet univers est régi par d’importants enjeux environnementaux.

Largement couverte par le volet écologique du plan de relance, la mobilité est un enjeu stratégique pour la diminution des émissions de gaz à effet de serre. Pour limiter son impact, passer à la voiture 100% électrique est une solution. Les transports collectifs, la mobilité partagée et mobilité douce sont aussi des alternatives. 

Miser sur les véhicules électriques

La voiture reste le mode de déplacement numéro un. Les ménages français ont un taux de motorisation élevé : ils étaient 86% à posséder au moins une voiture en 2019. En zone rurale ou périurbaine, ce chiffre explose à 95%. Les transports en commun n’étant pas assez développés dans ces zones, la plupart des français sont donc totalement dépendants de leur voiture. 

Et le véhicule électrique a le vent en poupe ! Sa simplicité est l'un des principaux atouts pour leurs propriétaires et conducteurs. Efficace, il se charge sans difficulté avec une borne de recharge individuelle à la maison ou à une station publique. Si ces dernières ne sont pas encore assez généralisées, le plan gouvernemental « Objectif 100 000 bornes » d'ici fin 2021 devrait booster les installations.  

Selon l’Avere (Association pour le développement de la mobilité électrique), la majorité des recharges (90 %) s’effectue d’ailleurs au domicile ou sur le lieu de travail, et non sur les bornes publiques. Mais alors, comment installer une borne de recharge à son domicile ?

Les fournisseurs d'énergie, comme Engie, et son offre Elec’charge, proposent des solutions clés en main comprenant un diagnostic énergétique, une installation à domicile certifiée et une aide à la prise en main lors de l’installation.  

S’il est possible de recharger sa voiture électrique sur la même prise que ses autres appareils, l’intensité des prises domestiques en France est en revanche bridée à 10 ampères afin d'éviter que les installations disjonctent. En plus du risque d’incendie, le temps de recharge est donc particulièrement long. Équiper sa maison d’une borne de recharge permet donc une alimentation plus sûre, plus rapide et plus économique. 

Emprunter les transports en commun 

Outre le développement et l’augmentation du nombre de stations de recharge de véhicules électriques, une solution réside aussi dans l’offre de transports en commun disponible dans les centres urbains. En effet, dans de grandes agglomérations, l’automobile n’est plus la solution favorite pour se déplacer. 

Les transports en commun sont préférés par 70% des Français, bien qu’ils dépendent de l’effort des services publics de chaque agglomération mais aussi des services de mobilités mis à disposition. Les collectivités sont demandeuses de solutions, mais elles ne sont pas toutes prêtes à accueillir les nouvelles mobilités douces encouragées par les innovations technologiques. 

Pratiquer la mobilité douce et partagée 

Vélos libre-service, trottinettes électriques en location, autopartage et covoiturage pour les déplacements urbains, marche à pied… : ces pratiques de déplacement alternatives séduisent de plus en plus les usagers, notamment en raison d’un prix attractif. 

Parmi les nouvelles solutions de mobilité en plein essor, les vélos, les vélos à assistance électrique ou encore les vélos électriques, sont préférés tout comme les trottinettes. Selon Les Echos, la vente des trottinettes électriques a connu une évolution de 105% entre 2018 et 2019. Cette année aura d’ailleurs été un véritable tournant pour cette industrie, grâce à la distanciation sociale qu’elle a permise lors des confinements successifs. 

Certaines municipalités (comme celle de Lille) s’engagent en généralisant les pistes cyclables, d’autres souhaitent envoyer un signal fort, en limitant la vitesse en centre-ville à 30km/h, comme récemment la ville de Paris. Ces politiques de mobilité plus responsable et la vague verte chez les usagers encouragent ces transports urbains.

En partenariat avec Engie. 

www.linfodurable.fr

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